Le malheureux est Louis Edouard PESEZ, fils de Stanislas Joseph PESEZ (charretier) et de Séraphine Joseph DROUVAIN.
ACTE DE NAISSANCE
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Le malheureux est Louis Edouard PESEZ, fils de Stanislas Joseph PESEZ (charretier) et de Séraphine Joseph DROUVAIN.
ACTE DE NAISSANCE
Julien LHERBIER, Soldat
Grâce à Laurent SOYER du groupe de Saint-Venant, nous avons retrouvé ce colonel. Il a une erreur dans le nom. Lisez LHERBIER au lieu de LERBIER. Né le 1 avril 1882 à Saint-Venant, garçon brasseur, il fait ses classes au 73ème (Béthune). Mobilisé comme ouvrier cordonnier puis il va combattre avec le 50ème RI le 5 décembre 1915. Démobilisé en 1919.
Voici sa fiche matricule : http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/cbe1b3611f4761ed2176e9e2fd4d36bc
Bulletin des réfugiés du Nord-Pas-De-Calais / 30 août 1914 |
Albert BOULINGUEZ, soldat au 72e régiment d'infanterie, 1ère compagnie
Fiche matricule (en trois parties)
http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/c46bf084d44bf51ecacff86228bd1dca
http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/ca988fb7ffe2b0ecb25a4bca4e8a1325
http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/14fe63dc67070af56be4b9a690c16525
Nommé caporal le 20 octobre 1916
Décédé le 12 juin 1918 dans l'ambulance
Bulletin des réfugiés du Nord-Pas-De-Calais / 29 novembre 1916 |
Jules-Jean-Baptiste-Marie LEPLAT, sous-lieutenant |
Bulletin des réfugiés du Nord-Pas-De-Calais / 2 décembre 1916 |
Il était né à Saint-Venant (Pas-de-Calais). Il est entré au Conservatoire de Paris en 1883. Lauréat de l'école Niedermeyer (prix d'honneur), il débuta à Sablé et il vint à Tourcoing en 1889 comme organiste à l'église Notre-Dame. Il y dirigea l'Association et la Société des concerts symphoniques.
Il a publié les œuvres musicales remarquées "Casta", "œuvres symphoniques", "Les sept paroles du christ" etc. -----------------------------------------------------------------------------------------
Fils de Louis Frédéric (Musicien organiste de la paroisse de Saint-Venant et de Rosine Félicité Joseph RATEL
Né le 3 décembre 1876, Frédéric Adrien Auguste DUBOIS
Acte de naissance - page 703 - 5MIR 770/5 |
Veuf de Louisa Marie Joseph DEGRYSE
Habitait rue Delobel à Tourcoing
Page 105 - Archive du Nord - 1 MI EC 599 R 058 |
Cimetière de Saint-Venant |
Dans la cour couverte de la gare du Nord, arrivait, hier, vers 1h de l'après-midi, un petit omnibus particulier à l'intérieur duquel on remarque deux religieuses et une dame d'une quarantaine d'années, brune, distinguée. À peine l'omnibus était-il arrêté, que la dame ouvrant la portière sauta sur le trottoir comme si elle eût été expressément pressée. Les religieuses se levèrent précipitamment pour la suivre.
Ce voyant rejointe par les sœurs, cette dame, qui, jusque-là, avait eu une attitude très normale, se mit à pousser des cris de détresse :
- - Au secours ! Au secours! Sauvez-moi !
Les passants se précipitèrent. Et comme les sœurs voulaient les écarter et faisaient des efforts pour entraîner la dame avec elle vers l'intérieur de la gare, quelques personnes les bousculèrent assez rudement et les obligèrent à lâcher prise.
Sans l'arrivée des agents elles auraient même été quelque peu malmenées, car un homme répétait :
- C'est une malheureuse qu'elles veulent enfermer contre son gré, dans leur couvent !
Cette affirmation avait immédiatement rendu la foule fort hostile.
Profitant de ces altercations et de ces bousculades, la dame avait pris la fuite dans la rue de Dunkerque, courant à perdre haleine.
Elle était déjà loin lorsque les sœurs, enfin délivrées, eurent expliquées aux agents que cette dame était une folle qu'elles étaient chargées de conduire de l'asile de Ville-Evrard, où elle venait de l'aller chercher, à l'asile d'aliénés de Saint-Venant , dans le Pas-de-Calais.
Les agents, et quelques-unes des personnes présentes, partirent à la poursuite de la fugitive, qu'on apercevait de l'autre côté de la place de Roubaix, se hâtant vers le boulevard Magenta.
Arrivée au carrefour formé par ce boulevard, la rue de Maubeuge et la rue Saint-Vincent-de-Paul, elle tourna brusquement et sans la moindre hésitation dans cette dernière rue.
Lorsque les agents arrivèrent à l'entrée de la rue Saint-Vincent-de-Paul, ils la virent qui entrait précipitamment dans l'allée de la maison qui termine la rue du côté des numéros impairs.
Cette maison, qui porte le numéro 25, fut fouillée de la cave au grenier ; on explorera même les toits sans pouvoir retrouver la trace de cette dame. Une locataire du premier étage, qui se trouvait à sa fenêtre au moment où on donnait la chasse à la fugitive, a vu pourtant celle-ci entrait dans l'allée et elle a même entendu le bruit de ses pas dans l'escalier.
Devant l'insuccès de ses recherches les religieuses : Mademoiselle Sidonie MAHIEU, en religion sœur Bathilde, et Mademoiselle Pharaide SNIKERTE, en religion sœur Claire, n'eurent d'autres ressources que d'avertir le commissaire de police du quartier. Elles ont fourni à ce magistrat les renseignements suivants sur la mission qui leur avait été confiée :
Cette aliénée est la femme du percepteur de Houdain Pas-de-Calais, elle se nomme Madame MEQUIN, née Besançon. Elle avait été internée récemment, sur la demande de sa famille, à la suite de faits prouvant qu'elle ne jouissait plus de la plénitude de ses facultés. Un jour, elle vint à Paris avec son petit garçon, âgé d'une dizaine d'années. Elle retourna seule ensuite chez son mari et refusa absolument de dire ce qu'elle avait fait de son enfant, "je l'ai mis en lieu sûr" se contentait elle de répondre. Jamais elle ne voulu dire à qui elle l'avait confiée.
Nous avons conduit Madame MEQUIN, de Ville-Evrard, à la gare du Nord, dans une voiture fermée. Pendant tout le trajet, elle fut fort calme. A 2 ou 3 reprises, cependant, elle avait répété : "comme les gens qui peuvent aller librement sont heureux ! Ah! Je souffre."
Nous étions très loin de nous attendre, étant donné son attitude, à cette fuite.
Ce matin, on était toujours sans nouvelles de Madame MEQUIN. Cette dame qui est grande est d'une assez forte corpulence portait une jupe grise et un corsage de satin noir ; son jupon de dessous est bordé de rouge. Elle est gantée de gants de fil gris. Elle n'avait sur elle ni argent ni bijoux.
Les accidents de la circulation
Deux automobilistes, conduites, l'une, par Mr Léonard LANG, de Strasbourg, l'autre, par Mr EVERAERE, de Saint-Venant, (Pas-De-Calais), sont entrées en collision au carrefour des Suisses, près de Roubaix. Une des deux voitures a été déportée sur le trottoir et a fauché trois jeunes filles qui revenaient du travail : Melle Madeleine BENAUT, 17 ans, de Mouvaux, a été tuée sur le coup ; Melle Renée BOCQUIN et Valentine CARLIER ont été assez gravement Blessées.
SAINT-VENANT - 750 kilos de pommes de terre fraîchement arrachées ont été volés dans un des champs de M. Léon CONSEIL, cultivateur ; une partie de ces tubercules, huit sacs environ, ont été découverts chez MMe B..., qui les avait dissimulés sous des bottes de foin. Mr VANHOUCK, maire, a fait transporter les sacs à la mairie
Les faits se sont déroulés le 27 septembre 1897 au Bas Hamel (indiqué dans l'acte de décès)
Victor Alphonse FOURNIER était maire en 1897
Mr Jules DEHAINE Jules, propriétaire du cabaret
PREMIER décès : M. DEHAINE Placide Augustin Joseph, son frère 57 ans, Journalier né à Haverskerque, était veuf au moment du drame (Virginie BLARY). Fils de Placide Augustin Joseph (1er du nom) et Henriette Virginie BEAUVAIS.
Ici dans l'acte de décès, il est indiqué que Jules DEHAINE est le fils de Placide et non son frère. Erreur ?
Acte de décès : Page 202 - http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/d4f2bb37faeadff4822415540af6a117
Les gardes champêtres qui ont déclarés le décès sont : François CAUGNIEL (45 ans) et Florimond LOURME (37 ans)
SECOND décès : M. SABOT Jules Edouard, 54 ans, né à Saint-Venant, locataire. Fils d'Hypolite et Reine Joseph GUILLEMAN.
Acte de décès : page 202 http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/d4f2bb37faeadff4822415540af6a117
Charles Auguste LESAGE
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BIOGRAPHIE
Il habitait Saint-Floris, il n'a pas eu d'enfant.
Né le 14 septembre 1896 à Saint-Venant.
Décédé le 06 janvier 1972 à Saint Floris. Il avait donc 76 ans
Fils d'Henri Joseph, cultivateur, et de Marie Sophie FEBURIE, cultivatrice
Marié le 28 septembre 1926 à Saint-Floris avec Julienne Marie Joseph ISART, cultivatrice.
Ouvrier agricole résidant à Saint-Venant en 1915
Employé de chemin de fer à Béthune en 1926 résidant à Saint Venant
Employé de chemin de fer du nord en 1931, résidant à la voie Delattre, conducteur de trains à Béthune (vu en 1927).
Réside à Béthune Cité Quivelly avant 1943
Réside à Saint-Floris en 1943.
Réside rue de Calonne en 1972.
SON PARCOURS MILITAIRE
Combattant de la guerre 1914-1918 du 10 avril 1915 au 8 septembre 1919.
Incorporé au 162e régiment d’infanterie le 10 avril 1915.
Passé au 9e régiment d’infanterie le 6 décembre 1915.
Passé au 327e régiment d’infanterie le 12 septembre 1916 (13e compagnie).
Passé au 139e régiment d’infanterie le 16 février 1919.
Soldat de 1ère classe le 23 octobre 1917.
Intoxiqué par gaz le 24 juillet 1917 à Steenskacte.
Intoxiqué par gaz le 23 avril 1918 à Yetler Pervennes (Oise).
Cité à l’ordre de la 162 division d’infanterie n°24 : Très courageux s’est particulièrement distingué dans les combats à la grenade. Le nettoyage des tranchées et les contre-attaques au cours des journées du 16 au 21 avril 1917.
Médaille militaire.
Croix de guerre.
Croix et carte du combattant en 1930.
Ici, vous pourrez consulter sa fiche matricule en deux parties :
Affecté spécial au titre de la S.N.C.F. en 1939. Démobilisé le 22 avril 1943 par le C de D de Béthune.
Médaille du travail.
Inhumé au cimetière communal en H9.
Sur la photo 6ème en partant de la gauche Mis en couleur avec Colorizer |
Photo originale Donnée par le Généalogie Saint-Floris |
Nous remercions Alain DEFER du groupe facebook "Saint-Floris et son histoire" d'avoir partager cette photo et sa biographie.
Le Réveil du Nord - 26 avril 1902 |