Bienvenue sur notre site dédié à la généalogie, l'exploration passionnante de nos origines familiales. Ici, nous partagerons nos découvertes, nos conseils, et nos expériences pour vous aider à retracer votre arbre généalogique et à découvrir les histoires fascinantes de vos ancêtres. Rejoignez-nous dans ce voyage à travers le temps et l'espace, où chaque découverte nous rapproche de nos racines et nous permet de mieux comprendre qui nous sommes. Archives, secrets et énigmes du passé...
La Fanfare des Mines de Béthune a pris part au concours international de Rouen et y a obtenu les succès suivants en division supérieure deuxième section :
- 1er Prix de lecture préparée.
- 1er Prix d’exécution.
- la première prime, ( 1500 francs et couronnée de Vermeil ) au concours d’Honneur.
 |
| Photo de groupe prise en 1899 |
La ville de Béthune (62400) , située dans la région historique de l'Artois en France, était un centre d'importance religieuse au Moyen Âge. La vie religieuse y jouait un rôle central, imprégnant tous les aspects de la société et la vie quotidienne des habitants.
Outre les institutions religieuses, la foi était également présente dans la vie quotidienne des habitants de Béthune. Les processions religieuses, les fêtes et les célébrations marquaient le calendrier liturgique et rythmaient l'année. Les habitants participaient activement à ces manifestations de piété populaire, renforçant ainsi leur lien avec la religion et leur engagement spirituel.
La Fête-Dieu : La Fête-Dieu, également connue sous le nom de Corpus Christi, était l'une des célébrations religieuses les plus importantes de l'année à Béthune. Elle se déroulait le jeudi qui suivait la Trinité et était marquée par une procession solennelle dans les rues de la ville. Des prêtres, des membres du clergé et des fidèles portaient le Saint-Sacrement, généralement sous la forme d'une hostie consacrée, à travers les rues décorées de tapisseries et de fleurs.
La Saint-Jean : La fête de la Saint-Jean, qui avait lieu le 24 juin, était une célébration marquant le solstice d'été. Les habitants de Béthune se réunissaient autour de grands feux de joie pour honorer Saint Jean-Baptiste. Cette fête était souvent accompagnée de danses, de chants et de festivités.
Les processions de Pénitents : Les pénitents étaient des confréries religieuses composées de laïcs qui se consacraient à la prière et à des œuvres de charité. Ils organisaient des processions publiques dans les rues de Béthune, portant des croix et des statues religieuses, et récitant des prières pour demander la miséricorde de Dieu.
Les fêtes des saints patrons : Béthune avait également des fêtes dédiées à ses saints patrons. Par exemple, la fête de Saint-Vaast, patron de la ville, était célébrée avec des processions, des messes solennelles et des festivités populaires.
La vie religieuse à Béthune était également soutenue par des pratiques de dévotion individuelle. Les fidèles visitaient les reliques de saints conservées dans les églises, allumaient des cierges, faisaient des dons et se confessaient auprès des prêtres pour obtenir la rémission de leurs péchés.
En somme, la vie religieuse à Béthune au Moyen Âge était profondément enracinée dans la société et influençait tous les aspects de la vie quotidienne. Les édifices religieux imposants, les ordres religieux présents et l'implication active des fidèles témoignaient de l'importance de la foi dans la vie de la ville. La religion offrait un cadre spirituel et moral, un soutien communautaire et une source d'espérance pour les habitants de Béthune au Moyen Âge. (Pour en savoir plus, lisez "la vie religieuse au Moyen-Âge")
Les noms de famille en France ont connu une évolution au fil du temps, influencée par divers facteurs historiques, linguistiques et sociaux.
Voici un aperçu général de l'évolution des noms de famille en France :
Les noms patronymiques : Aux premiers temps, les noms de famille étaient souvent basés sur le système patronymique, où le nom était dérivé du prénom du père. Par exemple, le nom "Martin" indiquait que la personne était le fils de Martin. Ce système était couramment utilisé jusqu'au XIe siècle.
Les noms de lieux : À partir du XIe siècle, on observe l'émergence des noms de famille basés sur des lieux géographiques. Les individus ont commencé à prendre le nom de leur ville, village, domaine ou lieu d'origine comme nom de famille. Par exemple, le nom "Dupont" signifie "de Pont" et indique une origine liée à un pont spécifique.
Noms de métiers : De nombreux noms de famille en France sont également dérivés de métiers ou de professions. Ces noms indiquaient le métier ou la spécialité de la personne. Par exemple, le nom "Boucher" désignait un boucher, "Charpentier" un charpentier, etc.
Noms de surnoms : Certains noms de famille en France ont évolué à partir de surnoms ou de caractéristiques personnelles.
Un exemple de nom de famille ayant évolué à partir d'un surnom en France est le nom "Lecomte". Ce nom est dérivé du mot français "comte", qui signifie "comte" en anglais.
À l'origine, "Lecomte" était un surnom donné à une personne qui avait des traits ou des caractéristiques associés à la noblesse ou à la classe des comtes. Le surnom pouvait être attribué à une personne ayant une allure distinguée, une élégance particulière, ou une certaine prestance qui rappelait celle des comtes.
Au fil du temps, ce surnom est devenu un nom de famille transmis de génération en génération. Ainsi, des familles ayant ce surnom ont commencé à se faire appeler "Lecomte" en tant que nom de famille.
Il est important de noter que l'évolution des noms de famille peut varier d'une famille à l'autre et les origines spécifiques peuvent être difficiles à retracer avec précision. Les noms de famille peuvent avoir subi des modifications, des adaptations et des interprétations différentes au fil du temps, et il peut y avoir plusieurs origines possibles pour un même nom.
Modifications orthographiques : Au fil du temps, les noms de famille ont également subi des modifications orthographiques, souvent en raison des variations régionales ou des évolutions linguistiques. Par conséquent, on peut trouver différentes variantes d'un même nom de famille.
Un exemple de nom de famille ayant été modifié en raison des variations régionales en France est le nom "Lefebvre". Ce nom est dérivé du mot français "forgeron" (blacksmith en anglais), qui désigne une personne travaillant dans la forge ou exerçant le métier de forgeron.
En raison des différences dialectales et des particularités régionales de la langue française, le nom "Lefebvre" a subi plusieurs variations orthographiques à travers le pays. Voici quelques exemples de variantes régionales de ce nom :
Lefebure : Cette variante du nom est plus courante dans certaines régions de Normandie, où la prononciation régionale a influencé l'orthographe du nom.
Lefebvry : Cette variante du nom est plus fréquente dans certaines régions du nord de la France, notamment en Picardie et en Flandre, où le "e" final est remplacé par un "y".
Lefèvre : Cette variante du nom est plus répandue en Belgique et dans certaines régions du nord de la France, où le "b" est remplacé par un "v" et l'accent est placé sur le "è".
Lefavre : Cette variante est présente dans certaines régions du sud-ouest de la France, où le "b" est remplacé par un "v" et la prononciation régionale influence l'orthographe.
Ces variations régionales des noms de famille sont courantes en France et sont souvent le résultat de l'influence des dialectes locaux, des particularités linguistiques et des accents régionaux. Il est important de prendre en compte ces variations lors des recherches généalogiques pour éviter de limiter les résultats à une seule orthographe du nom de famille.
Changements liés à l'histoire : Certains noms de famille ont également été modifiés en raison d'événements historiques, tels que la Révolution française, lorsque les anciens noms nobles ou aristocratiques ont été supprimés ou modifiés pour refléter les idéaux républicains.
Un exemple de nom de famille aristocratique ayant été modifié à cause de l'histoire en France est le nom de famille "de Bourbon". Les Bourbon étaient une famille royale et aristocratique puissante en France, qui a régné sur le pays pendant de nombreuses périodes de l'histoire, notamment à partir du XVIe siècle.
Cependant, avec la Révolution française de 1789 et la chute de la monarchie, de nombreux membres de la famille de Bourbon ont été déchus de leurs titres et de leurs privilèges. Certains ont été contraints à l'exil, tandis que d'autres ont dû changer leur nom pour échapper à la persécution révolutionnaire.
Par exemple, Louis XVI, le dernier roi de France de la dynastie des Bourbon, a été exécuté en 1793. Son fils, Louis XVII, est mort en captivité peu de temps après. Lorsque la monarchie a été restaurée en France en 1814, le trône est revenu à Louis XVIII, frère de Louis XVI.
Cependant, pendant cette période, de nombreux membres de la famille de Bourbon ont choisi d'adopter des noms différents pour échapper à l'attention et à la stigmatisation associées à leur lignée aristocratique. Certains ont adopté des noms de lieux, tels que "Bourbon-Busset" ou "Bourbon-Condé", tandis que d'autres ont utilisé des noms de famille complètement différents.
Ainsi, on peut trouver des variantes et des noms modifiés de la famille de Bourbon, en fonction des circonstances individuelles et des choix faits par les membres de la famille à l'époque.
Il est important de noter que cette évolution des noms de famille est un processus complexe et qu'il existe de nombreuses variations et exceptions à ces tendances générales. Les origines spécifiques des noms de famille peuvent varier considérablement d'une famille à l'autre. Pour approfondir l'histoire d'un nom de famille particulier, il peut être utile de consulter des sources généalogiques, des dictionnaires étymologiques, des études locales ou de faire des recherches spécifiques sur l'histoire de la famille en question.
Un automobiliste fait une chute et a la tête écrasée par un camion de 12 tonnes.
Vendredi, un peu après 17h, un camion auto de 12 tonnes de l'entreprise de transports MESSIAN (Messeant ?), de Chocques, conduit par le chauffeur Francis SAULTIER, quittait le pont Jean-Jean, à Bergues, quand déboucha de la rue du Général Faidherbe, un vélo moteur dont le conducteur crut pouvoir passer devant le véhicule.
Y eut-il dérapage ? Toujours est-il que le vélo moteur alla se jeter sur le camion. Le conducteur roula sur le sol et une des roue lui écrasa la tête.
Le véhicule, arrêté quelque pas plus loin, on reconnut dans la victime Mr DACHEUX, âgé de 57 ans, retraité du chemin de fer, qui, depuis deux ans, s'était retiré à Bourbourg-Campagne.
Mr Dacheux avait été commis à la gare de Bergues pendant une quinzaine d'années et avait laissé d'excellents souvenirs.
Son corps a été transporté à l'hôpital-hospice de Bergues.
