🍊 CHOCQUES - Une jeune femme est renversée et tuée par une auto à Chocques - 19 juillet 1935 Issu du journal La Croix du Nord

Une jeune femme est renversée et tuée par une auto à Chocques.

Un grave accident s'est produit jeudi matin à Chocques.

Mme Léone HELLEBOID, femme Jules DELRUE, 21 ans, ménagère à Gonnehem, sur la place, voulant traverser la chaussée de la route nationale, fut heurtée et renversée par une automobile.

On releva la jeune femme qui fut conduite à l'hôpital de Béthune.

Elle avait de graves blessures à la tête et la cage thoracique défoncée.

Au bout de quelques heures, la blessée expira.

L'auteur de ce navrant accident serait un meunier du Calaisis.

La gendarmerie enquête et le parquet est prévenu.

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🍊 CHOCQUES - Importante célébration d'un mariage à Chocques ! Issu du journal La Croix du Nord du 15 décembre 1922

 

 "Le lundi 11 décembre, a été célébré, en l'église de CHO(C)QUES, près (de) Béthune, le mariage de M. Lucien BRACQ, chevalier de la Légion d'honneur, décoré de la Croix de guerre, fils e M. et Mme BRACQ-CARLIER, de Valenciennes, avec Melle Gabrielle PARENT, fille de M. Parent, agriculteur et brasseur, à Cho(c)ques.

L'empressement avec lequel amis et alliés des deux familles avaient tenu, malgré la distance et les difficultés de communication, à venir nombreux assister à la cérémonie, témoignait de la grande estime dont elles jouissent à juste titre.

La population de Cho(c)ques s'était empressée de donner à la famille PARENT une marque particulière d'affectueuse sympathie, en ornant tout le parcours que devait suivre le cortège.

M. le doyen-chanoine de Lillers a béni l'union des jeunes époux, et prononcé une éloquente allocution."

Les époux :

Lucien Jules Joseph BRACQ, né le 24 juin 1896 à Vendegies-sur-Ecaillon (Nord), fils de André Paul et d'Hélène Marie Rosalie Agathe CARLIER

Gabrielle Eugénie Marie Joseph PARENT, sans profession, née le 12 octobre 1890 à Chocques, fille d'Edmond Pierre Albert et de Gabrielle Julie Joseph BEHIN

Voici le lien vers la parent de Chocques où nous parlons de la brasserie PARENT.

Voici l'acte de mariage :

🍊 CHOCQUES - Un enfant monte à un pylone électrique, touche un fil et tombe foudroyé Issu du journal La Croix du Nord - 20 septembre 1942

"A Chocques (P.-de-C.) un enfant monte à un pylone électrique touche un fil et tombe foudroyé

Mercredi, le petit Auguste DEQUIREZ, âgé de 14 ans, dont les parents demeurent rue du Croquet, jouait avec des petits camarades de son âge, dans le bois de Féru.
Il eut la malencontreuse idée de grimper à un pylone électrique. Parvenu au sommet, il toucha un fil et aussitôt tomba foudroyé d'une hauteur de 12 mètres.

Ses compagnons de jeu terrifiés, appelèrent à l'aide. Des voisins alertèrent les médecins TOURGIS et CHAUVAUX. Mais toute intervention était inutile.

Brûlé et tout meurtris, le pauvre corps fut reconduit au domicile des parents dont on devine la douleur."

Nous n'avons pas pu vérifier l'acte de naissance et l'acte de décès car ils ne sont pas en ligne. On sait juste qu'il avait 14 ans en 1942 il est donc né en 1928.

 

 

🍊 CHOCQUES - Un ménage asphyxié à Paris - Issu du journal La Croix Du Nord du 10 décembre 1935

Un ménage asphyxié à Paris

La femme est née à Chocques

"Paris, 9. Lundi, vers 8h, on a trouvé asphyxié, dans leur chambre, 8 rue de Solphérino à Boulogne le nommé ORU, né le 5 décembre 1908 à Sèvre et Rosa-Louise GALLET, née 19 mai 1908 à Chocques (Pas-De-Calais). La mort paraît due à une asphyxie."

Nous avons retrouvé son acte de naissance aux archives du Pas-De-Calais.

 GALLET Rosa-Louise, née le 19 mai 1908 à Chocques, fille d'Anatole GALLET et de Pauline PENEL

 

S'est mariée avec Léon LEROY le 24 octobre 1926 à Montigny-en-Gohelle

🍊 CHOCQUES - Un braconnier meurtrier se fait justice / Issu du journal Excelsior du 16 mars 1915

Un braconnier des environs d'Hazebrouck, nommé DELANNOY, qui avait été arrêté dernièrement à Chocques par un garde sur qui il avait tiré deux coups de feu, le blessant grièvement, s'est pendu dans la cellule où il avait été écroué.

Excelsior - 1915

 

🍊 CHOCQUES - Une bagarre entre frères ! Issu du journal de la Plaine de Lens du 17 septembre 1907

 Tribunal de Béthune

 

Journal La plaine de Lens
17 septembre 1907

Fait mention de :
 

✅ Olivier Maurice Joseph NICOLE 21 ans donc né en 1886, sur les registres, il est né le 4 janvier, fils d'Adrien et d'Elise BREUVART

De son acte de naissance, nous apprenons qu'il a été marié à LEROY L. le 22 avril 1911 puis qu'il a divorcé en 1922, le - Remarié avec Victorine HIMBLOT le 10 février 1923

Sur sa fiche militaire, il est indiqué qu'il habitait rue de Gonnehem, qu'il a combattu contre l'Allemagne pendant la première guerre Mondiale. Ce qui lui a valu d'être ajourné en raison d'un pied bot varus gauche réductible. (plaie par éclat d'obus). De ce fait, il percevait une pension à partir de 1921.

Il a reçu deux médailles :

- La médaille militaire
- La médaille de la victoire

Nous apprenons des détails physiques : cheveux et sourcils noirs, yeux noirs, fronts ordinaires, nez moyen, bouche moyenne, menton rond, visage ovale, taille 1.66 mètres

On apprend qu'il est décédé le 19 avril 1950 à Chocques (à la fin du registre - N°3)

✅ Maurice Aimé NICOLE 23 ans donc né en 1883, sur les registres, il est né le 17 novembre, rue de Lillers, fils d'Adrien et d'Elise BREUVART

Il était l'oncle de ma GM Paternelle

 

Marié avec Octavie Louise WEPPE, le 25 juillet 1908

Dans son matricule militaire, nous apprenons qu'il habitait à Grenay. Il a été blessé le 26 mars 1916 à Verdun. Il était blessé au pouce droit par un éclat d'obus. Et le 20 juillet 1916, au bois étoilé, il reçu un éclat d'obus à la main gauche. Blessé pendant les bombardements de Bully Grenay le 05 avril 1917.

Il décéda le 06 avril 1917 de ses blessures à l'hôpital de Béthune.

Nous noterons de ce fait qu'ils étaient mineurs

- Maurice Aimé Joseph NICOLE 

- Pas de dossier disponible pour Olivier Maurice NICOLE

 et que les deux frères se seraient battus l'un contre l'autre.

✅ Pour aller plus loin, nous vous conseillons cet ouvrage.

 

💧 ALLOUAGNE - Henri MORIEUX, instituteur - Tout avait si bien commencé !

Henri MORIEUX (Iréné Joseph)

Né le 14 octobre 1847 à Allouagne
Fils de Théophile MORIEUX & de Rose DHERSIN

1867 : dispensé de service militaire car il était instituteur adjoint cf fiche militaire (matricule 789)
A cette date, il habitait Chocques.

Il a exercé comme Instituteur à Chocques et à Lapugnoy pendant 35 ans.

1867 : nommé directeur adjoint de l'école de Ferfay

1871 : nommé directeur de l'école de Lapugnoy

 

1872 :  Création d'"Une caisse d'épargne scolaire" Et il obtient la médaille de bronze en 1894 (****).

1881 : Création d"Une caisse d'école"

1888 : Création d"Une caisse de secours mutuels"

1888 : Création de : "Les prévoyants de l'avenir"

Issu du journal Guelma du 11/10/1894

1889 : Création de l'institution "La sécurité des Familles" : Article issu du journal "Le glaneur d'Oleron et des basses Pyrénées" et écrit par Francisque SARCEY

But : servir une pension annuelle à ceux de ses membres frappés d'incapacité de travail par une infirmité.

Le siège social est à Lapugnoy.

Dans l'article publié en 1890 par le journal de l'éducation nationale, on apprend que l'institution est déjà représentée par 81 départements par près de 400 délégués (*) et que Monsieur Henri MORIEUX a reçu une médaille d'argent au Congrès mutualiste de Philippeville, Algérie.

En 1895, le siège de l'institution a été transféré au 34 rue du Roi-De-Sicile à Paris d'après le journal le Rappel (**)

1904 : condamné pour escroquerie, information relayée par le journal "La Cocarde" / à 18 mois de prison.

Archive du Pas-de-Calais / Allouagne / page 1184

 

Divers articles :

- 1879 - "Éloge du maire de Lapugnoy" issu de "Rapports et délibérations"
- 1890 - "Nos tablettes" revue bi-mensuelle : Écho divers et  Petites correspondances
- 1890 - "La sécurité des familles" issu du journal "Vichy-journal"
- 1890 - "La sécurité des familles" issu du journal "l'éducation nationale : journal national de l'enseignement (*)
- 1890 - "La sécurité des familles" issu du bulletin des sociétés de secours mutuels
- 1890 - "La sécurité des familles" + "cotisation" issu du "Vade-mecum de l'Oedipe et du Sphinx"
- 1891 - "La sécurité des familles" issu du journal "le découpage pour tous"
- 1893 - "Renseignements utiles" issu du journal "Le Petit Journal"
- 1894 - "Bel exemple de solidarité" du journal "Le relèvement social : organe de la ligue française de la moralité publique.
- 1894 - "La sécurité des familles" issu du journal "Le petit Champenois"
- 1894 - "Recueil de procédés pédagogiques" issu du journal de l'enseignement
- 1894 - "Caisse d'épargne scolaire" issu de l'exposition scolaire du Pas-de-Calais (****)
- 1896 - "Avantages pour les instituteurs" annonce parue dans le journal "Le petit Parisien"
- 1897 - "le certificat d'étude"
- 1897 - "Sujet du C.E.P" issu du journal "l'enseignement pratique : journal pédagogique et scolaire.
- 1900 - "La sécurité des familles" issu du journal "le rappel" (**)
- 1901 - "Publication d'un petit livre d'exercices scolaires" en 1895 / issu de la revue de la prévoyance et de la mutualité
- 1903 - "Krach financier à Saint-Pol" issu du "journal de Berck et des environs"

🍊 CHOCQUES - Incendie - Paru le 5 août 1923 dans le Reveil du Nord

 Un incendie a détruit deux habitations à Chocques.

Il s'en fallut de peu pour qu'un enfant périt dans les flammes

Un violent incendie a détruit le 02 août, vers midi, une maisonnette et un baraquement situés route de Fouquereuil, à Chocques, et habités par la famille LAMORILLE.

L'alerte fut promptement donnée, mais malgré l'arrivée rapide des pompiers le feu qui avait gagné les deux habitations, réduisit le tout à néant en un rien de temps.

Sans le dévouement des sauveteurs les pompiers, il est probable qu'on eut eu à déplorer des accidents. Avec peine une fillette de trois ans a pu être arrachée des flammes ; malheureusement elle est assez grièvement brûlée ainsi que sa mère Mme LAMORILLE qui aida avec courage au sauvetage de sa petite...

On était inquiet sur le sort d'un garçonnet de cinq ans et sa disparition pouvait laisser supposer qu'il avait trouvé une mort horrible mais l'enfant s'était enfui effrayé par le sinistre. Il fut heureusement retrouvé dans l'après-midi, sain et sauf couché dans un fossé.

Les causes du sinistre restent inconnues. Les dégâts sont assez importants.

La route de Fouquereuil à Chocques n'est pas mentionnée dans le recensement de 1921 et n'existe pas non plus de nos jours.

Nous n'avons pas trouvé non plus ce patronyme dans les recensements. Erreur ? 

🍊 CHOCQUES - BAIL 1819 - issu du site avant Laprée

 "Bail de neuf ans consenti par Jean-Baptiste-Valentin-Joseph BAUDET, praticien, demeurant à Béthune (au nom de Louis-Dominique-Joseph de LENCQUESAING (1763-1854), chevalier de Saint-Louis, propriétaire, demeurant à Lille), à Louis SURET, cultivateur, demeurant à Chocques (sur le chemin de Chocques à Gonnehem) de 90 ares (9 quartiers) de prairie à Chocques, tenant de levant au chemin de la Motte, de midi et de couchant à Louis-Dominique-Joseph de LENCQUESAING (1763-1854) (occupation de François CAUDRON), de nord aux pauvres de Chocques (occupation d’Augustin SURET). 

Rendage annuel : 66 francs “que le preneur s’oblige de payer à M. de Lencquesaing en son domicile à Lille, à l’expiration de chaque année de jouissance de ce bail
”.

Entrée en jouissance : 1er octobre 1820.
Premier paiement : 1er octobre 1821.
Béthune (notaire Herreng et son collège), 28 juin 1819. Archive de Laprée, Quiestède, 3.2786."

"Source : Je vous invite à visiter le site d'où est ici cette source : https://avantlapree.hypotheses.org/30187 - KARL-MICKAEL HOIN" 

 

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Louis-Dominique-Joseph de LENCQUESAING 

Né le 11 décembre 1763 - Église Saint-André - Lille, 59000, Nord, France

Décédé le 26 mai 1854 - Lille, 59000, Nord, France, à l'âge de 90 ans

Lieutenant en 1791 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

🍊CHOCQUES - Les charitables dans l'hôpital La Charité de Saint-Nicolas

 (Source : "https://lavenirdelartois.nordlittoral.fr/7343/article/2018-12-07/chocques-les-charitables-fetent-leur-patron" cf ci-dessous)

"Un cortège de bicornes noirs a solennellement traversé la commune, de la place de l’Église jusqu’en mairie. Les Charitables ont processionné jeudi 6 décembre. Une journée de Saint-Nicolas symbolique pour eux. La confrérie fêtait son 643e anniversaire."

Ceux qui portaient les morts en terre

Une première mention apparaît à Chocques en 1636, dans l’hôpital La Charité de Saint-Nicolas. Là, des hommes se sont inspirés des Charitables de Béthune, et sont devenus « ceux qui portaient les morts en terre. »

La coutume a perduré, et la Confrérie a pris pour patron le Saint-Nicolas du berceau de leur création. Aujourd’hui, ils poursuivent leur mission d’accompagner les défunts jusqu’à leur dernière sépulture, autour des piliers qui commandent leur comportement : exactitude, union, charité. Dans la salle des mariages de la mairie, ils ont observé une minute de silence en mémoire des leurs défunts. Puis, une cérémonie a permis d’honorer Jean-Marie Bajeux de la médaille de Vermeil, puis d’Henri Peze, de l’or.

Le maire Yvon Massart a remis à la suite la médaille de la Ville à Jean Pouille, en récompense d’avoir gravi tous les échelons de l’ordre de la Confrérie."

 http://www.genealogiepresseancienne.com/p/les-charitables.html

 

Les charitables de Béthune sur la Grand Place
Merci @Alain pour la photo

 

🌳BETHUNE - Les inondations dans la région - paru dans l'écho du Nord du 31 décembre 1925

Bonjour,

Voici un article de circonstance On y parle de la famille DELIERS, victime de l'inondation, de Mme LINGHEM de Béthune, Mr CROMBES

 SUITE

🍊CHOCQUES - UNE CHAUDIERE EXPLOSE A CHOCQUES / PARU DANS L'ECHO DE LA FRANCE DU 24 SEPTEMBRE 1926

Une chaudière explose à Chocques

Un mort, un agonisant

Un terrible accident est survenu jeudi dans la matinée dans la commune de Chocques.

On sait que la Compagnie des Mines de Marles a construit à Chocques une Centrale électrique qui occupe un nombreux personnel.

Jeudi matin, vers 8 heures, une forte explosion alertait les ouvriers travaillant dans l'usine. on se rendit bientôt compte qu'une chaudière avait fait explosion et que deux ouvriers avait dû être blessés. Les secours furent aussitôt organisés. Les sauveteurs découvrirent bientôt, au milieu des débris, le cadavre horriblement déchiqueté d'un de leur camarade nommé DECHAINE (Ernest ou DEHENNE selon l'acte de décès), de Labuissière, et le corps de QUEVA (Louis), de Lapugnoy.

Les deux corps furent aussitôt dégagés et le docteur appelé aussitôt, ordonna le transfert à l'hôpital d'Auchel. On conserve peu d'espoir de sauver QUEVA.

Dès que la catastrophe fut connue, Mr PRUDHOMME, adjoint au maire, se rendit à la Centrale, après avoir fait prévenir les gendarmes de Béthune qui arrivèrent dans la matinée pour procéder à une enquête. En plus des conséquences que cause cet accident les dégâts matériels causés par l'explosion soit importants.

🍊 CHOCQUES - Recrutés pour guerroyer auprès du roi !

Rue d'en bas/Place du village

Aujourd'hui, nous remontons loin dans l'histoire. Voici quelques habitants de Chocques ayant été recrutés sous Louis XIV, Louis XV et Louis XVI pour "guerroyer" au service du roi. 

Ces recensements effectués par des bénévoles sont très instructifs et apportent des informations importantes et complémentaires sur nos ancêtres. 

A mon tour, j'ai complété en recherchant dans mes notes sur les naissances, mariages et décès de la ville.

JEAN FRANCOIS LEGAY (° 1703 à Chocques- 62 / † 1759 au château de Bicestre - 94)

Acte n°081206 reçu à l'hôtel le 28 Avril 1757 

Acte traduit "Jean François LEGAY dit La Rose, agé de 57 ans, natif de Chocq [62224] prés Bethune en artois, Caporal au Reg.t de Nice Comp.e de Theun où il à servi 22 ans, anciennes Blessures et vüe foible, est marié et est Catolique
- Soldat
- Le 22 avril 1759 Mort au Chateau Royal de Bicestre [94043] en qualité de Garde mais on n'a pas pu produire de Certificat de mort aux Invalides"

Château royal de Bicêtre

 Lieu déduit Chocques; Le Kremlin Bicêtre.

Par déduction selon l'acte, il est né en 1702 mais on le retrouve dans le registre de naissance en 1703 (le 26 mars), fils de Louis et d'Hélène BIAREL

Acte de naissance page 639 AD PDC - Chocques

"Le vingt sixiême jour du mois de mars de l'an mil sept cens trois a été baptisé par moy mre Rose curé de la paroisse de Chocques Jan François Legay fils légitime de Louis et de Elenne biarel sa feme né le même jour du même mois et le parrain a été Jan François Libossard et la marraine Marie Claire Couppin tout deux enfants des familles dudit choques lesquels entoy de ce que dessus ont signé avec moi"

LOUIS BOSSART

Acte n°006218 reçu à l'hôtel le 12 Juin 1692

Acte : "Louis BOSSART dit La Montagne, âgé de 23 ans, Natif de Choq [62224] prez Bethune, Grenadier du Sieur de Bereau, Regiment de Robecq, ou il dit avoir Servi 4 ans et demy, est estropié du pied gauche d'un coup de fusil quil receut au Siege de Cony [99127] joint à un autre coup à la jambe droite quil reçeut le mesme jour au méme Siege le mettent hors de Service, et est Catôlique

- Soldat

Lieu déduit Chocques; Cuneo"

Aucun Louis Bossart (Ni Libossart/Beaussart Louis) recensé à Chocques 

JEAN WATBLED

Acte n°045178

Reçu à l'hôtel le 17 Août 1730

Acte traduit : "Jean Watbled dit La Grandeur, agé de 58 ans, natif du Choquet [62224] en Boulonnois dioceze de Boulogne, Brigadier de la Compagnie mestre de Camp Regiment de Cavalerie de Clermont cy devant Chartres ou il a Servy 30 ans, portez dans son Certificat datté du 10 du present mois d'aoust est Incommodé d'une opression de Poitrine ce qui Le met hors de Service, et est Catolique
- Cavalier
- Le P.er mars 1732. Jean Watbled d. La Grandeur Soldat de la Compagnie du Sieur de Lermuzeau au detachement a Boulogne [62160] a eté Rayé dezerteur des Registres de l'Hotel ayant dezerté de la Compagnie le 24 Janvier dernier sans avoir donné depuis aucunes de Ses Nouvelles"

Lieu déduit Probablement Chocques.
Aucun renseignement trouvé sur Chocques

            
GUILLAIN CAUDRON (° 17/04/1641 ? Chocques - † 30/10/1719 à l'hôpital de Saint Vallery) 

Acte n°030240 reçu à l'hôtel le 26 Mai 1718

Acte traduit : "Guillain Caudron âgé de 50 ans, Natif de Choques en Artois [62224] dioceze de St omer, Caporal du Sieur de Galbarre, Regiment de Mailly cy devant Montesquiou, Isenghien et famechon, ou il à Servi 31 ans, portez par son Certificat datté du 10 du present mois demay, ses Incommoditez le mettent hors de Service, il est du nombre des soldats reformez envoyez dans Une Compagnie d'Invalides à la Citadelle d'Arras==Citadelle_d'Arras] [62041] et est Catôlique
- Soldat
- Le 30 octobre 1719. Il est Decedé a L hopital de st Vallery [80721] estant du Détachement sur La Some"

Lieu déduit Chocques; St Valéry sur Somme.

Nous avons uniquement trouvé un Guislain Codron mais né le 17/04/1641, fils de Robert et Marie DHIVER, il avait 78 ans à son décès... Si vous avez une autre piste...

LOUIS DES CHAMPS (° 18/02/1675 à Chocques - † ?)

Acte n°048683 reçu à l'hôtel le 1 Octobre 1733

Acte traduit : "Louis Des Champs, dit Chevalier, agé de 58 ans, natif de Chocque [62224] proche Bethune en Artois, marechal des Logis de la Compagnie du Sieur marquis de Richerand Regiment de Royal Roussillon ou il a Servy 29 ans dont 19 de marechal des Logis mentionnéz dans son Certificat, Est incommodé de Douleurs de Reings ce qui le met hors de Service, Catolique
- M.al des Logis Bas Off.er"

Lieu déduit Choques.

On trouve bien un Louis DECAMPS né le 18/02/1675 à Chocques, fils de Jean Louis et de Marie Margue BAILLEUL
      

ROCH VIGNERON (° 20/09/1691 à Chocques - † 09/08/1747 à l'hôtel royal des Invalides)

Acte traduit : "Roch VIGNERON dit Roch, âgé de 62 ans, natif de Chocq [62224] prés Béthune en Artois / Le 9 aoust 1747 Il est décédé à l'hôtel royal des Invalides [75107]" (acte succinct en cours de saisie)

Il était bas officier.

Dans le registre des naissances, nous retrouvons bien un Rocq VIGNERON, fils de Jean et d'Anne DEWAILLY. Par contre il est né le 20/09/1691, il avait donc 56 ans au moment de son décès.

POLICARPE BODVEN JOSEPH THERIEZ (° 02/01/1796 Chocques - † Béthune ?)

Acte n°001354 reçu à l'hôtel le 10 Novembre 1843

Acte traduit : "THERIEZ Policarpe Bodven Joseph, né le 7 Janvier 1796 à Chocques [62224] département du Pas de Calais, fils de Joseph et de Catherine Decroix, marié à Marie Monroy, aucune profession
- admis par Décision du 30 8bre
- Caporal
- ancien Chasseur à cheval de l'ex garde Royale; Services effectifs 6a 1m 10j Total 6 ans 1 mois 10 jours
- Perte de l'usage de l’œil droit et Courbure considérable de la Colonne Vertébrale par suite d'une chute de cheval. Ce militaire est titulaire d'une pension de retraite de 113 f inscrite au Trésor public Sous le N° 125540
- pensionné le 27 Janvier 1847 à Béthune [62119] Pas de Calais"

On trouve bien cette personne sur les registres, fils de Joseph et de Catherine DECROIX, né le 2 Janvier 1796 à Chocques

JACQUES MERVEILLE (° le 27/12/1761 à Chocques - † ?)

Acte n°000344 reçu à l'hôtel le 27 Juin 1796

Acte traduit : "MERVEILLE Jacques, âgé de 29 ans, natif de Choque [62224] Pas de Calais; Grenadier 111e 1/2 Brigade."

Lieu déduit Chocques.

Hors texte L'acte porte le N° 344 de la 2ème page 1038. Inscrit an 4 le 9 Messidor.

On retrouve bien un Jacques MERVEILLE mais né le 27/12/1761, fils de François et de Védastine PENIN

JEAN HUGUES DELBARRE (° Chocques ? - † 30/05/1739 à Montreuil)

Acte traduit : "Jean Hugues DELBARRE/ agé de 53 ans, natif de Choc [62224] proche Bethune en Artois / Cavalier / Le 30 May 1739 Il est décédé a Montreuil [62588]

Lieu déduit Chocques."

Aucun indice retrouvé dans les registre de Chocques, ni de Montreuil

CHARLES EUGENE LADERRIERE (° 03/04/1803 à Chocques - † ?)

Acte traduit : " LADERRIERE Charles Eugène, né le 3 avril 1803 à Choques [62224] département du Pas de Calais, fils de Charles Guislain et de Rosalie Tellard, célibataire... [en cours de traduction]

Lieu déduit : Chocques. 

On retrouve bien cette personne dans les registres. Fils de Charles Guislain et de Rosalie TELLARD

Sources : Archives du Pas-De-Calais & Hotel des Invalides

GUILAIN JOSEPH BIGOT

Grenadier, Fils de Joseph.

Surnommé "joli coeur"

Enrôlé le 5 juin 1766, compagnie du Chevalier de Carle

(source : https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e005e53aaa644ad1/5e57c63e10725)

 

🍊 CHOCQUES - Les sceaux restaurés de l'abbaye de Chocques - Histoire et Mémoire n°30 - 2nd trimestre 2002

 

(source : calaméo)

🍊 CHOCQUES - SOUVENIRS -1915

Photo souvenir prise pendant la guerre

Noms inconnus

🍊 CHOCQUES - REPAS DE FAMILLE

Ces deux photos viennent d'un album de Jean-Marie BREUVART, natif de Chocques, né le 27 janvier 1945 à Chocques et décédé le 18 août 2017 à Bruay-La-Buissière, ancien agent de maîtrise de l'usine Firestone, il avait classé ces photos dans la partie Chocques. (Sa femme s'appelle Bernadette)

Est-ce pendant une ducasse ? un enterrement ? ils sont quasi tous en noirs. Vous reconnaissez quelqu'un, n'hésitez pas à laisser un message.

 

Je l'ai colorisé 

 

 Je l'ai colorisé

 

https://www.62190.fr/jean-marie-breuvart-presente-une-etonnante-collection-de-cartes-postales-a-loffice-de-tourisme-jusquau-samedi-30-mars-2013-lillers-comme-vous-ne-lavez-jamais-vu/

🍊 CHOCQUES - Tentative de suicide - 13 juillet 1857 - La Presse

 

 

Une tentative de suicide par amour vient d'avoir lieu dans la commune de Chocques (Pas-De-Calais)

Un jeune homme de vingt-cinq ans, peintre-vitrier de son état, faisait depuis quelques années une cour assidue à la fille ainée d'une cabaretière. Plusieurs fois déjà, il avait des propositions de mariage ; mais sa demande avait été repoussée, et la mère lui avait même défendu de parler désormais à sa fille.

Cependant, samedi dernier, notre amoureux se présente de nouveau, et demande à la mère la permission de dire un mot à celle qu'il appelle familièrement sa bonne amie. La mère n'ose refuser ; il pénètre dans la pièce où la jeune fille est occupée à repasser du linge. - Voulez-vous, oui ou non, vous marier avec moi ! - Non, répond-elle sans hésitation aucune ; vous n'avez pas de position faite, et nous serions malheureux tous les deux. - Vous avez dit non ! s'écrie l'insensé, je ne veux pas survivre à cet affront.

Et, saisissant un couteau-poignard, il s'en perce la poitrine et s'affaisse sur le sol. Heureusement, la blessure n'est pas mortelle ; il y a donc espoir que cette saignée volontaire calmera un peu les sens du jeune homme, ou bien que cette preuve sanglante d'un amour obstiné touchera la jeune fille et finira par triompher de sa résistance.