Bienvenue sur notre site dédié à la généalogie, l'exploration passionnante de nos origines familiales. Ici, nous partagerons nos découvertes, nos conseils, et nos expériences pour vous aider à retracer votre arbre généalogique et à découvrir les histoires fascinantes de vos ancêtres. Rejoignez-nous dans ce voyage à travers le temps et l'espace, où chaque découverte nous rapproche de nos racines et nous permet de mieux comprendre qui nous sommes. Archives, secrets et énigmes du passé...
CHOCQUES / 23 AOUT 1930 ISSU DU JOURNAL LA CROIX DU NORD
Mauvais serviteur - M. A. LAROCHE, 71 ans, cultivateur, route de Lillers, n'est pas satisfait de son journalier Louis CATRY. Il ne voulut pas lui accorder l'augmentation que celui-ci demandait. CATRY s'en alla. Il revient ces jours-ci et trouva M. LAROCHE, sa fille Clarisse et son gendre aux champs. Il les invectiva, et passant bientôt de la parole aux actes, il frappa le vieillard et sa fille. La gendarmerie informée, le gratifia d'un procès-verbal pour violences.
23 AOUT 1930 ISSU DU JOURNAL LA CROIX DU NORD |
CHOCQUES / Issu de La Croix du Nord / TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE BETHUNE DU 24 FEVRIER 1950
Naissance / article issue de La Croix du Nord du 11 MARS 1950
NAISSANCE
Le docteur et Madame Edmond BERNARD-FOULON sont heureux de vous annoncer la naissance de leur fils EDMOND.
Chocques, le 8 mars 1950
article issue de La Croix du Nord du 11 MARS 1950 |
🍊 CHOCQUES/BETHUNE - Tribunal de Béthune - Issu du journal La Croix Du Nord - 16 mars 1937
TRIBUNAL DE BÉTHUNE
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Audience correctionnelle du 14 mai
Béthune - 2 mois de prison à Jean VANGEHUCTEN, 34 ans, courtier en métaux, et 1 mois de prison, avec sursis, et 20 francs d'amende, à Jean-Baptiste JUNGBLUT, 65 ans, photographe, pour immoralité
Chocques - 3 mois de prison et 5 francs d'amende à Henri SAVARY, 42 ans, journalier, pour avoir, étant ivre, outragé les gendarmes DUMONT et DUPONT, envers lesquels il s'est rebellé.
Tribunal de Béthune - Issu du journal La Croix Du Nord - 16 mars 1937 |
CHOCQUES / CARTE POSTALE / GARDE BARRIERE
J'ai trouvé la carte postale ci-dessous de la garde barrière au passage à niveau de Chocques : Léa EMEME; la photo date de 1949.
La connaissiez-vous ?
🍊 Une grave collision d'autos à Chocques - Paru le 17 novembre 1938 dans le journal La Croix du Nord
Deux morts
Un terrible accident d'autos s'est produit mercredi, vers midi, sur la route nationale Béthune-Lillers, au lieudit "Le Réveillon".
Mr Armand LOUIS, né à Cambrai en juin 1892, représentant de commerce, demeurant à Paris, 314, rue Saint-Martin, conduisait une auto, ayant à côté de lui M. CAMBERT habitant Joinville, 9 avenue Foch. Venant de Béthune, il se dirigeait vers Lillers. Il roulait derrière un camion de la Distillerie de Béthune, piloté par Mr Marceau LENOIR, demeurant au pont de Sevelingue, à Essars. Mr Armand LOUIS crut pouvoir doubler le camion. Il le fit sans s'être assuré au préalable si la route était libre. Malheureusement, elle ne l'était pas...
Au moment où il doubla, il se trouva devant un lourd véhicule chargé de 40 porcs. Pour l'éviter, M. Armand LOUIS donna un coup de frein. Sa petite voiture tourna et se mis en travers de la route devant le camion du porcher appartenant à M. René LELEU, 68 rue de Dunkerque, à Saint-Omer, et conduit par Mr GRUSON Roger, 34 ans, habitant rue de l'oeil à Saint-Omer. Le conducteur du camion ne put éviter la collision qui fut terrible.
La voiture de Mr Armand LOUIS se trouva coincée sous le capot du camion et traînée sur une longueur d'une cinquantaine de mètres. Mr LAMBERT fut projeté au dehors de la voiture et tué sur le coup.
Mr Armand LOUIS fut retiré des débris de la petite voiture. Il respirait encore. Le docteur TOURGIS, mandé d'urgence, ordonna son transfert immédiat à l'hôpital de Béthune mais le malheureux conducteur y expirait peu après son admission. La gendarmerie de Béthune ouvrit aussitôt une enquête et informa le Parquet de Béthune qui ordonna la mise en fourrière de la voiture automobile et du camion, aux fins d'expertise.
🍊 CHOCQUES - Un coup de revolver à Chocques - Paru dans le journal La Croix du Nord du 13 MARS 1932
M. Joseph NOBLET, 24 ans, mineur, à Lapugnoy, à tiré un coup de revolver sur Melle Marie DELANNOY, 27 ans, dont les parents tiennent un café à Chocques, route Nationale.
La jeune fille, voyant le geste, eut la présence d'esprit de se coucher sur un banc, mais la balle atteignit M. Eugène MORIEUX, assis à côté, au bras droit, au-dessus du coude.
Désarmé aussitôt, Joseph NOBLET, parvint à prendre la fuite et fut arrêté peu après. Poursuivi devant le Tribunal de Béthune, pour coups et port d'arme, NOBLET fut condamné à deux ans de prison et 25 fr. d'amende.
Après plaidoirie de Me VANHOUCKE, la cours a abaissé de deux ans à dis-huit mois la peine de prison et maintient l'amende.
🍊 CHOCQUES/BETHUNE - Il faisait les poches ! issu du journal la Croix du Nord du 5 janvier 1923
M. LIBERT Albert, de Chocques, avait laissé, le 2 janvier, son veston dans une écurie chez M. NOULETTE, cabaretier, place de Lille (Béthune) ; un sieur BOUVET Auguste, 18 ans, manœuvre, visita les poches et emporta un portefeuille contenant une petite somme d'argent et des papiers. Plainte ayant été déposée, BOUVET fut conduit au commissariat où il déclara avoir caché le portefeuille dans une maison en construction Boulevard Thiers.
On l'y mena et l'on retrouva l'objet, mais vide de son contenu. Procès verbal a été dressé.
🍊 CHOCQUES - L'incendie de la Brasserie Bonnel - Paru le 19 septembre 1930 dans le journal LA CROIX DU NORD
Nous avons relaté hier l'incendie qui s'était subitement déclaré à la brasserie BONNEL.
De l'enquête menée par la gendarmerie, il résulte que le feu aurait pris à la suite d'un court-circuit. Seule la toiture a été détruite. On signale des dommages assez importants dans les réserves de grains. Les dégâts couverts par l'assurance, s'élèveraient à environ 10 000 francs.
(nous n'avons pas trouvé d'article le 18 septembre et les jours précédents concernant l'incendie) |
Un peu d'histoire...
A Chocques, nous avions 3 brasseries :
- La Brasserie PARENT (rue de Gonnehem, maison du dentiste actuel Mr ALLOUCHERY)
- La Brasserie HAVIEZ (rue de Lillers, qui a appartenu à notre ancien maire Edmond HAVIEZ)
- La Brasserie BONNEL (dans le centre, anciennement Amiaux, près du Crédit Agricole)
Annonce du 2 octobre 1938 - Grand Écho Du Nord |
🍊 CHOCQUES - Un automobiliste lillois renverse un piéton à Chocques - Paru dans le Grand écho du 4 mai 1929
M. André CHALAUX, ingénieur à Lille, où il demeure, rue Brûle-Maison, 82, traversait Chocques en auto venant de Lapugnoy, lorsqu'à une cinquantaine de mètre de la Centrale Électrique, il renversa Henri BREUVART, 50 ans, magasinier, qui, vers midi, rentrait chez lui. Mr BREUVART, qui se plaignait de douleurs internes, de contusions aux jambes et aux mains, a reçu les soins de Mr le docteur HEDOIRE, que M. CHALAUX était allé chercher aussitôt après l'accident.
🍊 CHOCQUES - Un accident mortel en gare d'Hénin-Liétard issu du journal La Croix du Nord du 13 décembre 1934
Ramassé par le garde-barrière, du passage à niveau de la rue de Drocourt et transporté à l'infirmerie de la gare, il reçut les premiers soins du docteur M. WILLEMETZ, qui diagnostiqua une fracture du bassin et de la colonne vertébrale. Transporté à l'hôpital Darcy, le blessé y est décédé peu après son arrivée.
M. Legrand, excellent employé et bon camarade, laisse des regrets unanimes à la gare d'Hénin-Liétard.
🍊 CHOCQUES - La foudre tombe sur la distillerie de Chocques paru dans le journal La Croix du Nord du 22 août 1939
Lundi, vers 16h heurs, la foudre est tombée sur la distillerie de Choques, dont le propriétaire est M. CAMPION.
Des bacs d'alcool furent atteints par le fluide et bientôt tout le bâtiment était la proie des flammes.
Les sapeurs-pompiers de Chocques furent immédiatement alertés et devant l'importance de l'incendie firent appel aux pompiers de Béthune qui sous le commandement de leurs chefs Messieurs le capitaine BERSOUX, les lieutenant PIEL et FLAHAUX se mirent aussitôt en demeure de combattre le fléau.
Les pompiers s'employaient à préserver 3 autres réservoirs d'alcool qui se trouvaient à proximité.
Le danger, on le conçoit était d’une rare gravité. Aussi,
convient-il de féliciter les courageux pompiers de l’ardeur et de la vaillance
dont ils firent preuve dans leur périlleuse mission.
On peut dire que c’est grâce à leur dévouement que ces immenses réservoirs ont pu être sauvés et tout danger écarté.
Une catastrophe avait paru tellement imminente, que l’alerte toucha également les sapeurs-pompiers de Lens, de Bruay et des mines environnantes, qui ne tardèrent pas à se trouver sur les lieux, prêts à seconder les efforts de leurs camarades.
Par précaution, une surveillance fut organisée pour la nuit.
🍊 CHOCQUES - Les concours du 2 mai issu du journal "Les sports du Nord" du 10 avril 1943
Les concours du 2 mai
CHOCQUES - Concours du comité d'Entr'aide aux prisonniers, chez M. Nicole-Duhamel. Mises 200x50.
Pesage à 15 heures. Mise au parc à 16 heures
Avez-vous des souvenirs à partager sur les combats de coqs à Chocques ?
🍊Chute sérieuse à CHOCQUES paru le 06 mars 1930 dans la Croix du Nord
A CHOCQUES, UN ÉLECTRICIEN FAIT UNE CHUTE DE SEPT MÈTRES
Mr Fernand LEROY, 42 ans, électricien, demeurant à Labeuvrière, et travaillant à l'usine Kuhlmann, à Chocques, est tombé d'une hauteur de sept mètres. Il a de nombreuses contusions, mais aucune fracture. Son état est néanmoins sérieux.
🍊 ACCIDENT - MARQ EN BAREUIL/CHOCQUES/ROUBAIX/MONS-EN-BAROEUL - Issu du journal La Croix du Nord du 23 novembre 1932
Une collision d'automobiles sur le grand boulevard
Mardi, à 14h45 environ, sur le boulevard Charles-Delesalle, au Buisson, une auto conduite par Mme DELAHAYE, représentante en chaussures, de Chocques (P.-de-C.), qui allait vers Roubaix, voulut doubler un camion et se jeta sur l'auto de M. Paul BUYCHAERT, 21, rue Pasteur, Mons-en-Baroeul.
Le choc fut violent et les dégâts matériels sont importants.
La circulation fut gênée pendant trois quarts d'heure par les voitures qui restèrent tout ce temps l'une à droite et l'autre à gauche de la chaussée.
🍊 CHOCQUES - Renversée par une voiture - Paru le 28 MARS 1931 dans LA CROIX DU NORD
Renversée par une voiture
Voyant sa petite fille en danger sur la route où arrivait une automobile. Mme Maria RAMODOSO, 44 ans, domiciliée à Chocques, s'élança pour la dégager. Elle fut elle-même, happée par la voiture et renversée. Elle fut relevée aussitôt. On constata qu'elle avait une jambe brisée. Mme RAMODOSO a été transportée à l'hôpital de Béthune.
🍊CHOCQUES - Bagarre - Issu du journal La Croix du Nord du 05 septembre 1930
A coups de poings
M. Eugène MAYER, 32 ans, ajusteur, rue de la Gare, a porté plainte à la gendarmerie contre son beau-frère Victor KINZIGER, 26 ans, charpentier, demeurant même rue, qui l'aurait frappé à coups de poings. On enquête.
🍊 CHOCQUES - Braconnage qui tourne mal ! - issu du journal La Croix du Nord du 01 septembre 1925
LILLERS - Issu du journal La Croix du Nord du 23 MARS 1952
Un camion de 5 tonnes de Lomme, chargé de 45 ouvriers s'engouffre dans un magasin à Lillers - 14 blessés.
Un camion de 5 tonnes, de l'entreprise DEWITTE, transportait 45 ouvriers venant des régions d'Hazebrouck, Steenbecque, Aire-sur-la-Lys pour les conduire aux lieux de leur travail à Chocques et Marles.
Dans la traversée de la rue Nationale à Lillers, par suite de la rupture du bras de l'amortisseur avant-gauche qui vint se coincer dans la barre d'accouplement, la direction se trouva bloquée.
Le conducteur, Mr. Jean DUO, 24 ans, d'Hazebrouck, fut impuissant à redresser son camion qui alla avec violence défoncer la façade du magazin de Mr. LUGEZ-DETAILLY, négociant en appareils sanitaires et chauffages.
Les dégâts matériels sont très importants, tant dans le magasin qu'au camion. Il n'y eut, fort heureusement, aucun blessé grave. 14 ouvriers ont reçu les soins du docteur HERNU.
Les gendarmes de Lillers, arrivés immédiatement sur les lieux, ont effectué l'enquête et assuré la circulation.
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